3 bigoudènes sont parties prendre le car
Lorigine de cette mini-Ponantoise (visiter 3 des 15 îles du Ponant : Sein, Molène et Ouessant) relève de la croisière des Iles anglo-normandes de Mai dernier. En effet au retour de Jersey et Guernesey, nous avions renoncé à Ouessant et Molène, pourtant initialement prévus dans notre projet, car un peu « saturés » par les 4 semaines de navigation, nous avions
Troisbigoudènes sont parties prendre le car Farine de froment farine de blé noir Trois bigoudènes sont parties prendre le car Elles vont à New York faire des crêpes et du far (Bis) Gare de Quimper, kenavo au revoir Farine de froment, farine de blé noir Gare de Quimper, kenavo au revoir Essuyez vos larmes agitez les mouchoirs (Bis)
Anna, Suzanna, Tristana, Leila. Quatre jeunes homosexuelles en quête d'absolu, égarées dans les méandres des corps et du coeur. Paris, ses terrasses de café, ses arrière-cours d'immeubles et la Seine, immuable, sert de toile de fond
Pontl'Abbé : toute l'actualité en direct, soyez informé des événements, des sorties, de l'agenda, des loisirs et des sports tout au long de la journée - Page 453
Écoutezgratuitement Farine De Froment, Farine De Blé Noir (3 Bigoudènes A New York) par Breizh sur l'album Bretagne Traditionnelle, et découvrez la
nonton film my lecturer my husband season 2. Histoire de la compagnie Le BAO, compagnie montpelliérainne fédére autour d'une conception ludique et inventive du spectacle vivant, elle a succédé en Juillet 2006 au Bouche à Oreille fondé en 2003. La nouvelle structure assure un fonctionnement professionnel et permet aux artistes de travailler l’esprit libre. Le BAO est une compagnie de spectacle vivant, regroupant une trentaine d’artistes et techniciens du spectacle vivant fédérés autour de divers projets. Improvisation, spectacle jeune public, spectacle tout public, contes, émission de radio… une créativité débordante pour les créateurs et interprètes composant ce collectif. L’objectif de ce collectif d’artistes est d’encourager l’écriture contemporaine et la création de spectacles pour la scène ou hors les murs jardin, lieu public, parcours urbain etc... Saison 2014-2015 Bientôt le décanniversaire !!... mais il faut attendre encore une saison. 9ème saison, c'est parti ! En termes de création, le BAO travaille sur sa 8ème création pour petits et grands La petite sirène à la mode sétoise. Les premières auront lieu au théâtre La Vista, notre partenaire qui nous fait confiance depuis la création de la compagnie, du 20 Avril au 6 Mai 2015. Allez, on se retrouve sur les planches !! Bonne saison à tous. Saison 2013-2014 Le BAO, saison 8... Cette saison, vont naître en octobre 2013 La SNUF Société des Naturalistes Urbains de France, spectacle de rue, le premier de la compagnie, écrit et mis en scène par Jordi Cardoner. Puis en décembre 2013 Don Quichotte, création tout public à partir de 7 ans, du théâtre clownesque mis en scène par Matthieu Penchinat. Et une remasterisation au mois de mai 2014 des Trois petits cochons, opéra-pork au théâtre La Vista, à partir de 5 ans. Les autres spectacles continuent de tourner. Les ateliers sont toujours donnés par Marick Revollon et Benoit Ramos, ainsi que plusieurs stages dans l'année. Le partenariat eurorégional SCENA CENTRO suit son cours. Bref, tout plein d'activités pour cette 8ème saison !! Saison 2012-2013 C'est la 7ème... 7ème saison que le BAO existe, crée, produit et tourne ses spectacles. Cette saison ne voit pas de nouvelles créations éclore, mais le BAO prend une envolée internationale avec le projet SCENA CENTRO projet eurorégional autour des arts vivants pour le jeune public qu'il co-porte avec 3 partenaires des Midi-Pyrénées, de la Catalogne et des Baléares. On emmène Blanche-Neige Décongelée à Avignon et puis on l'adapte en Catalan ainsi que Le Comte de Pilou-Pilou, chasseur de peluches pour aller les tourner en Catalogne et aux Baléares... En 2013, une création transfrontalière se préparera, ainsi qu'un tout autre projet... de théâtre de rue... qui s'appelle... la SNUF. On vous en dira plus, plus tard... allez, si, ça veut dire... Société des Naturalistes Urbains de France... Les comédiens sont chaud bouillants, on vous attend sur les planches avec nos spectacles qui tournent encore en France, en Navarre et en Catalogne. Bonne saison à tous !! Saison 2011-2012 Et voilà le BAO souffle sa cinquième bougie 6ème saison !! Avec un collectif toujours aussi bouillonnant d'idées et débordant de créativité. Les nouvelles créations de cette saison - Les Bigoudènes dans "Tout est bon dans le breton !" - À la recherche de la chaussette perdue - Seifoudin - Un projet de contes pour la ZAT Port-Marianne à Montpellier - Le comte de Pilou-Pilou et tous les autres spectacles qui poursuivent leurs bouts de chemins les visites déglinguées, l'impro à la carte, le Katch Impro, L'Heure du Crime et des Poussières, les spectacles de contes de Jordi Cardoner et Benoit Ramos, les spectacles jeune public, les spectacles tout public, les ateliers d'impro... que vous pouvez découvrir en parcourant nos différents onglets. En tout cas, on ne chôme pas et on aura plaisir à vous retrouver dans les salles et ailleurs tout au long de cette saison ! Saison 2010-2011 La saison 2009-2010 se termine par la présence de "Peter Pan" au festival Off d'Avignon tous les jours du 8 au 31 juillet à 11h au Théâtre des Corps Saints. Au mois d'août, nos trublions du BAO prennent des vacances pour pouvoir revenir d'aplomb dès la rentrée afin de vous proposer une rentrée et saison avec les rendez-vous devenus incontournables et 3 nouvelles créations. Vous pourrez pour la deuxième année consécutive venir à la rencontre de notre équipe de 10h à 18h le Dimanche 12 Septembre 2010 à l'Antigone des Associations place du Nombre d'Or. Le concept de Visite Déglinguée continue son bout de chemin. Après le Quartier Croix d'Argent de Montpellier, l'Aquarium Mare Nostrum, la ville d'Aix-en-Provence, diverses entreprises, c'est au tour du quartier Boutonnet de Montpellier 18/09/10 ; du musée d'histoire naturelle de Nîmes à l'occasion de la Nuit des Chercheurs 24/09/10 et du jardin des plantes de Montpellier à l'occasion de la Fête de la Science du 21 au 23/10/10 d'être redécouverts et visités de manière totalement déglinguée. Et bien d'autres lieux encore à venir... Le rendez-vous mensuel de fight théâtral se prend pour une pomme de plus, puisqu'il s'agit de la troisième saison du Katch Impro qui revient au Kawa Théâtre tous les premiers mardi de chaque mois entre octobre 2010 et juin 2011. Après "Les Discomobiles" en 2009 puis "Los fantasticos Hermanos Rajol y Pumos", qui remportera le championnat cette année ? Nous pourrons retrouver les spectacles jeune public qui reviennent dans les théâtres montpelliérains Blanche-Neige Décongelée dans le festival Festi'mômes au Théâtre Pierre Tabard ainsi que pendant les vacances de février au Théâtre La Chocolaterie ; Princesse Raiponce pendant les vacances de Noël au Théâtre La Vista. Trois nouvelles créations verront le jour pendant cette saison 2010-2011 - J'habite encore chez ma femme, première le 13 octobre 2010 à 19h15 au Théâtre La Chocolaterie. Une comédie écrite et mise en scène par Jean-Chris. - Cendrillon, combien tu chausses ?, première le 20 avrll 2011 à 16h au Théâtre La Vista. Un spectacle jeune public musical adapté du conte de Charles Perrault, par Jordi Cardoner qui assure également la mise en scène. - Une histoire d'optimiste titre provisoire, sortie prévue vers mai-juin 2011, création écrite par Jean-Chris et interprétée par Marick Revollon. Les ateliers d'improvisations dirigés par Marick Revollon auront toujours lieu pour les adultes, les ados et les enfants. Saison 2009-2010 Pensez déjà à remplir vos agendas 2009-2010, car dès la rentrée, le BAO sera présent sur toute la saison pour continuer à vous faire rire, vous émerveiller, vous surprendre !! Vous pourrez venir à la rencontre de notre équipe toute la journée du Dimanche 13 Septembre 2009 à la Journée des Associations Quartier Antigone à Montpellier. Aux mois de septembre-octobre, Marick Revollon sera en résidence de création avec Une histoire d'Optimiste puis effectuera une sortie de travaux extrait de 20 mn le Mercredi 21 Octobre au Couvent des Ursulines à Montpellier. Cécile Combredet travaille sur une nouvelle création pour les tout-petits 18 mois-3 ans Timide. Les improvisateurs du BAO poursuivront leurs rendez-vous mensuels autour des Trio d’Impro, Love Impro. Vous aurez droit également à la saison 2 du Katch Impro au Kawa Théâtre mais cette fois-ci tous les premiers mardis du mois d’octobre 2009 à juin 2010 avec la grande finale. Alors qui détrônera Les DiscoMobiles » vainqueur du dernier tournoi en remportant le Kawa d’Or ?... A vous de désigner les gagnants !! Au Théâtre La Vista, une performance aura lieu tous les trimestres entre septembre et juin intitulée Inscrivez votre titre ici une idée originale d’Olivier Labiche. Vous, public, allez définir les personnages et une trame de pièce de quelque genre que ce soit comédie, tragédie, mélodrame, comédie musicale, etc... via Internet, et les comédiens auront 35h pour écrire cette pièce et vous la présenter le soir !! Concernant le jeune public, Peter Pan adapté par Olivier Labiche reviendra pour quelques représentations au mois de décembre 2009 à La Vista, Princesse Raiponce adapté par Jordi Cardoner aux vacances de février aux P’tits Kawas du Kawa Théâtre. Et pendant les vacances des Pâques, une nouvelle création jeune public verra le jour… Blanche-Neige décongelée adapté par Jordi Cardoner, réchauffement prévu du 14 au 24 avril puis ler & 2 mai 2010. Les ateliers d'improvisations dirigés par Marick Revollon auront toujours lieu pour les adultes, les ados et les enfants. Saison 2008-2009 Le BAO est toujours en ébullition artistique avec sa troisième saison d'existence, puisqu'elle a été nommée compagnie de l'année à l'événement annuel de Montpellier QuARTiers Libres, où pour sa 5ème édition, la compagnie avait Carte Blanche. C'est donc ainsi qu'elle a investi le quartier Croix d'Argent en présentant "Peter Pan", "On se fait la bise ?", "La visite déglinguée" et "Yéti fait son apéro musette" fin septembre 2008. Elle a créé également le nouvel événement impro au Kawa Théâtre avec le "Katch Impro" tous les derniers mercredis de chaque mois. Jordi Cardoner toujours aussi décalé avec ses "Contes de distraction massive" au théâtre Gérard Philippe en décembre 2008, et resté encore dans le conte en adaptant "Princesse Raiponce" au Théâtre La Vista pour le jeune public en avril 2009. Des ateliers d'improvisations ont été ouverts pour les adultes, les ados et les enfants, et sont dirigés par Marick Revollon. Saison 2007-2008 Pour 2007-2008, les auteurs du BAO ont aiguisé leurs crayons et les projets de création se bousculent L’improbable projet V3 », écrit par Jordi Cardoner, vaudeville contemporain est à l’affiche du théâtre Gérard Philippe, Peter Pan », la nouvelle création d’Olivier Labiche enchantent les plus jeunes au théâtre la Vista en Février 2008, enfin Cécile Combredet crée et interprète seule On se fait la bise » au théâtre d'O. De plus, notre partenariat avec Divergence FM se consolide par la reprise de l’émission de radio animée par Olivier Labiche Décalage Immédiat». Le collectif BAO propose aussi toujours des spectacles d’improvisations théâtrales sous la forme de trio d’impro » dont le succès grandit sans cesse. Une seule règle, une seule contrainte les textes des spectacles sont soit improvisés soit écrits par les membres de la compagnie. Des comédiens-auteurs, ou des auteurs-comédiens… au service de l’écriture contemporaine et du spectacle vivant !! Saison 2006-2007 Le BAO, en résidence au théâtre La Vista, a proposé un spectacle tout public Le pas feutré de M. Valentin », écrit par Olivier Labiche, qui développe le thème de l’écriture et du passage entre un monde créé par l’imagination de l’auteur et le monde de la réalité. En Janvier 2007, Cécile Combredet a créé Dis moi Alice, pourquoi les lapins blancs sont-ils toujours en retard ? », une adaptation d’Alice aux pays des merveilles, mêlant théâtre, marionnettes et chansons, un exemple symbolique du passage d’un monde à l’autre. Cette création a été adaptée en version jardin » pour Montpellier Quartiers Libres 2007 dans le Jardin des Plantes de Montpellier.
Camping Finistère Sud avec piscine et en bord de mer Le camping Finistère Sud Le Helles, situé au cœur de la belle et sauvage région de Bretagne, est un paradis pour les amoureux de paysages marins. Pour vos vacances en famille, profitez d'un établissement combinant les plaisirs de l'eau ! Nous disposons d'une piscine chauffée et d'un accès direct à la plage de Saint Marine sur l'embouchure de l'Odet. Petits et grands pourront profiter en toute saison de la piscine couverte et du bassin extérieur pour effectuer des longueurs, se divertir autour de nos jeux d'eau ou bien encore se détendre autour de l'espace aquatique sur les transats du solarium. Au sein des prestations aqualudiques de notre camping à Bénodet avec piscine, bénéficiez d'un bassin chauffé à 28° et d'une pataugeoire pour les enfants. Ce grand espace de plus de 175m² de baignade a été expressément conçu pour vous ! Avec notre situation au cœur du Finistère, vous serez au plus près de quelques-unes des plus belles plages de France. La station balnéaire de Combrit sera vous combler avec ses 5 km de plages de sable fin donnant directement sur la façade de l'Océan Atlantique. L'accès direct à la plage de Saint Marine se trouve à seulement 500 mètres de notre camping en bord de mer. De quoi profiter de l'air iodé de la Bretagne à tout moment de la journée, et observer les couchers de soleil sur la magnifique baie de Bénodet. Le Camping vous offre bien plus qu'un simple endroit où loger avec votre tente ! Profitez d'activités amusantes au bord de la piscine ou de la plage, comme l'aquatonic, le kayak, le pédalo et la pêche. Avec quatre hectares de parc à explorer et ses recoins entre terre et mer, vos vacances en camping finistère sud, Le Helles, ne vous laisseront pas insensibles. Locations d’emplacements et de mobil homes en Bretagne du Sud à Benodet Notre établissement vous propose à deux pas de la plage, la possibilité de louer des mobil-homes à Bénodet aux équipements modernes et confortables et des emplacements pour tentes et camping-cars en Bretagne du sud. Vous pourrez ainsi choisir parmi une large gamme d'hébergements avec une belle place à proximité de la mer. Grâce à des prix accessibles à tous les budgets, profitez d'un séjour agréable et abordable les pieds dans l'eau. En effet, le Camping Le Helles vous propose des locations pas chères d'emplacements et de mobil-homes en Bretagne sud à Bénodet pouvant accueillir jusqu'à 7 personnes. Sur le camping du Finistère Sud, vous profiterez d'une ambiance conviviale où vous pourrez bénéficier de votre terrasse pour déguster de bonnes spécialités bretonnes directement issues de notre bar snack ! Partir à la découverte du Sud Finistère sur la côte de Cornouaille Envie de connaître les coins secrets de la Bretagne du Sud en Finistère ? C'est le moment de découvrir la côte de Cornouaille ! Le Finistère Sud est une région de bord de mer avec de longues plages de sable et des kilomètres de falaises façonnées par des millénaires d'érosion. Sa côte étendue qui longe le Nord de l'Atlantique de la Pointe du Raz à Pont aven, est appelée la côte de Cornouaille à ne pas confondre avec les Cornouailles anglaises. Cette partie de la côte bretonne recèle d'histoires et de légendes, en plus d'être d'une beauté naturelle époustouflante. Avec une culture tournée vers la mer, vous découvrirez un littoral parsemé de villages de pêcheurs et de ports pittoresques, tels que Concarneau et Bénodet. Ce sont des destinations populaires pour les touristes qui souhaitent profiter des célèbres plats de fruits de mer ou des gourmandises sucrées bien de la région. Dans l'intérieur des terres, vous découvrirez des sites touristiques qui vous emmèneront dans un autre temps ainsi que des villes et villages riches de culture. On y trouve principalement les communes de Quimper et Quimperlé qui sont reliées par l'Océan grâce à leur ria respective, l'Odet et la Laïta. La première, que l'on surnomme la capitale de la Cornouaille, sera vous charmer avec sa cathédrale Saint Corentin, ses maisons à pans de bois et ses animations estivales qui reflètent les pures traditions du pays Bigouden. Dansez au son des cornes muses lors du festival de Cornouaille et cultivez vous au Musée des Beaux Arts ainsi qu'à Pont Aven pour tout connaître sur cette terre de peintres. Du côté de Quimperlé, vous trouverez un patrimoine impressionnant centré sur l'architecture traditionnelle du Moyen Âge à nos jours ! Si vous vous sentez d'humeur sportive, il y a aussi de nombreuses promenades côtières à faire - de la Pointe du Raz au Kérou. Pour des vacances plus tranquilles dans la nature, dirigez-vous vers les îles Génan ou prenez votre temps pour faire du vélo autour du Pouldu. La côte de Cornouaille et ses villages fleuris, à l'image de Locronan, ne finiront pas de vous surprendre. Une région propice aux activités nature et familiales Le Finistère est une région propice à la nature et aux activités familiales. Notre camping vous propose de passer vos vacances dans un cadre paisible, immergé dans la nature. Le camping est situé directement sur la plage et dispose de nombreuses installations sportives piscine, courts de tennis, terrain de padel pétanque, mini-golf avec putting green et practice pour les tirs. Pour ceux qui aiment le vélo ou qui veulent découvrir la région à vélo, il existe de nombreuses façons de découvrir toutes les attractions que notre belle côte a à offrir. Vous pouvez également emprunter l'un de nos nombreux sentiers à travers les forêts ou visiter certaines de nos îles comme Ouessant ou l'île de Sein où vous pourrez faire de l'équitation ou du kayak entre autres ! Il y aura également des activités spécialement conçues pour les enfants, comme des programmes d'animation pendant les vacances scolaires. Le camping Finistère Sud Le Helles est un camping accueillant et familial qui vous offre tout le confort et les équipements nécessaires à un séjour agréable. Imaginez vous détendre au bord de la piscine, les pieds dans l'eau, en regardant vos enfants s'amuser ou profitez-en pour rencontrer d'autres campeurs ! Vous pourrez également prendre vos repas en plein air en regardant le coucher de soleil sur la mer !
Depuis un petit moment déjà, j’ai noté qu’en balayant du regard les étagères des librairies, mes yeux se figeaient toujours sur le même type de couverture. Un livre de format pas trop encombrant, un bandeau photo sur fond écru et un titre qui claque "Sun Ra. Palmiers et Pyramides", "Dictionnaire de la littérature à l’usage des snobs", "L’usage sonore du monde en 100 albums", etc. À chaque fois, je me fais avoir. Impossible d’envisager de quitter les lieux sans posséder l’ouvrage pour tenter après d’en posséder le contenu. Ces livres, qui t’appellent comme l’odeur de merguez un soir de festival, sont tous marqués du même sceau LE MOT ET LE RESTE. Les mecs sont courageux, capables de publier un truc intitulé Musiques expérimentales – Une anthologie d’enregistrements transversale et non exhaustive ». Non obsessionnels de la musique, s’abstenir. Alors que le métier d’éditeur vit des heures sombres pendant que la presse musicale s’appauvrit, les acteurs de telles initiatives deviennent les héros kamikazes d’un monde presque perdu. Yves Jolivet, patron de la maison, raconte à Gonzaï son projet d’édition et sa genèse, qui s’ancre dans le Marseille des années 90. En vrai héros, il est téméraire le numérique ? Même pas peur. Quand on a le bon créneau, les bons auteurs et un public affamé, c’est vrai qu’il semble absurde de céder à la panique. Quant au reste, c’est tout de suite avec les bons mots de Jolivet. Gonzaï Comment est née la maison Le Mot et Le Reste? Yves Jolivet Les éditions le mot et le reste sont nées en 1996 à Marseille, j’avais alors quarante et un ans. A cette époque, je faisais des livres d’artiste et il me fallait trouver un titre de maison d’édition explicitant au mieux l’objet et la construction de ces ouvrages. Comme il s’avérait que je sollicitais des mots auprès de poètes et que je m’occupais du reste, le titre de la maison d’édition a été simple à trouver. Êtes-vous originaire de Marseille? Non, je suis breton d’origine. Mes grand-mères bigoudènes parlaient breton au quotidien, avaient une coiffe de 40 cm sur la tête et l’une d’entre elles était communiste. Je parle là d’un monde qui n’existe plus depuis longtemps, qui a explosé au nom de l’intégration des enfants ma génération au plein emploi de la fonction publique. Que faisiez-vous avant, quel est votre parcours? Dans une autre vie, j’ai été inscrit pendant longtemps à la maison des artistes, réalisant de nombreuses expositions. Mes ouvrages sont entrés dans les collections du Centre Pompidou, la Tate Gallery, etc. J’ai aussi eu un fanzine au début des années 1980 à Rennes. Dans un autre registre, j’ai aussi travaillé avec des tziganes, en arrivant à Marseille, au milieu des années 1980. Quel est ce reste », qu’est-ce qu’il représente et signifie? Si je tiens compte des conditions de création de la structure, le reste est capital il ne s’agit pas seulement de recevoir des mots, mais de les mettre en scène, dans le cadre d’une maison d’édition qui a sa cohérence propre. Le reste est donc une charte typographique, des couvertures très identifiées, un suivi éditorial important et non négociable, notamment dans le cadre des ouvrages sur la musique, où il nous arrive de recevoir des manuscrits, assez…euh…rock n’roll. De la littérature rock free style, en quelque sorte, qui peut tenir sur la forme brève d’un article, mais qui s’effondre dans un livre, qui nécessite la qualité d’un coureur de fond. De Marseille 2013, il reste des dettes à apurer » La maison s’est montée pendant ce que l’on nomme la movida marseillaise », votre maison d’édition a fait partie de cette impulsion là? Pouvez-vous nous raconter cette époque? Arrivant en 1986 dans la ville, année qui coïncide avec le début du mandat électoral de Robert Vigouroux, puis l’arrivée de Christian Poitevin à la culture plus connu sous le nom de Julien Blaine, j’ai pu voir l’émergence et l’accélération d’un souffle concernant la culture à Marseille. L’action de Blaine, très offensive, dans tous les secteurs culturels de la ville, tant dans les domaines de l’art contemporain, de la musique, de la poésie, à placé, un court instant, des 1988 à 1995, Marseille au cœur de la culture européenne. Je ne vais pas là débiter la liste des lieux mis en place, mais un vent réel de moyens et de créativité a existé dans tous les secteurs. Sa démission en 1995 a eu pour effet la lente désagrégation du tissu culturel qui est celui que nous connaissons aujourd’hui, fait de petites baronnies, assez anecdotiques et guère ambitieuses, eut égard au fait que la ville est la seconde de France, en terme de population. Marseille 2013 vous a apporté quelque chose en tant qu’acteur culturel? La visibilité du Mot et le Reste s’opère via des livres, vendus en librairie ou par internet et concerne l’espace francophone en général. Tout cela pour dire que Marseille 2013 n’a pas eu d’influence sur notre programme éditorial, élaboré et développé sur un réseau dans lequel Marseille est assez périphérique. Nous avons cependant participé à Marseille 2013 en réalisant l’une des deux expositions d’ouverture du FRAC, avec une exposition de livres d’artistes internationaux, réalisée par Anne Moeglin-Delcroix, a partir de son ouvrage L’Esthétique du livre d’artiste », édité chez nous en 2012. Aujourd’hui, de cette aventure, il reste des dettes à apurer, le MUCEM et un front de mer digne de celui de Barcelone et de Gènes, villes de même configuration que Marseille. Est-ce que le marché du livre est vraiment mort ou le fait d’être dans un secteur de niche comme vous permet de bien en vivre et de vous maintenir? Le marché du livre est en difficulté car celui-ci n’est plus le vecteur essentiel de reconnaissance sociale tel qu’il l’était auparavant. Reste qu’il s’en vend toujours pas mal et le marché du livre ne s’est pas effondré au même titre que celui du disque. En ce qui nous concerne, il me semble que nous avons pris la place de magazines tel que Rock et Folk à une époque, les Inrocks à une autre. Nous sommes devenus un outil de référence pour bon nombre d’amateurs de musiques actuelles et certains, amateurs de vinyles, verraient d’un mauvais œil si nous passions en format poche la version cd du livre, en quelque sorte. A son petit niveau, Le Mot et le Reste semble devenir un marqueur social, notamment pour les amateurs de musique. Est-ce plus difficile d’être éditeur aujourd’hui ? J’ignore les conditions dans lesquelles ont travaillé d’autres éditeurs, à d’autres époques et avec quels moyens. Reste que nous avons réussi à trouver un espace de travail convenable, en établissant une place qui est devenue, dans le cadre des musiques populaires, la nôtre. Quand on est dans l’édition musicale comme vous, est-ce qu’il n’est pas plus intéressant de proposer un livre numérique avec un contenu multimédia? Lire la vie de Sun Ra en l’écoutant? Vous êtes peut-être les seuls chez qui ces nouveaux formats sembleraient justifiés, moins effrayants… Nous revenons a une réflexion qui me semble importante nous voyons poindre une lassitude d’internet, la magie du gouffre musical sans fond qu’on y trouve s’étiole, la qualité musicale catastrophique des MP3 est de plus en plus soulevée. A ce rejet du tout numérique s’ajoute le retour du vinyle et le souhait de bon nombre de nos lecteurs, notamment ceux de nos ouvrages sur la musique, de conserver notre grand format, notre qualité de papier et d’en faire un objet que l’on conserve, au même titre qu’un album vintage. Bref, nous sommes très peu sollicités par des lecteurs souhaitant nous voir aller vers ces formats hybrides, liant numérique et contenu multimédia. Ce qui ne nous empêche pas d’être très attentifs à l’évolution de l’objet livre. Le milieu du rock est doté d’une réelle mauvaise foi, mais foi quand même. » Vos éditions, bien qu’ouvertes aux autres arts, sont majoritairement des éditions musicales, rock pour une grande partie. Vous êtes passionné de musique? Musicien vous-même ou musicologue à la base…? Quel est votre rapport à la musique? Nous éditons en moyenne 30 ouvrages par an, sans compter les rééditions. La musique concerne plus de 60% du catalogue, qui inclut aussi de la littérature. Là aussi, ce reste » est important. C’est aussi parce que nous publions de la littérature que nous sommes aux aguets quant à la tenue stylistique de nos ouvrages sur la musique. Il ne s’agit pas de nous relâcher au motif que Zappa affirmait que Les journalistes de rock sont des gens incapables d’écrire qui interviewent des gens incapables de parler pour des gens incapables de lire ». Certes, j’ai pu lire des tombereaux d’énormités et d’inexactitudes débitées avec un aplomb qui aurait valu du goudron et des plumes aux journalistes » dans tout autre milieu culturel que le rock et c’est notamment pour cela que je l’aime, ce milieu » doté d’une réelle mauvaise foi, mais foi quand même. Cependant écrire un livre, c’est une autre histoire que d’enfiler des perles dans un magazine lu par des amateurs de mêmes perles. Pour revenir à ma relation à la musique, il faut revenir en arrière, dans les années 1970 en France. Imaginez pas d’internet, certes beaucoup de magasins de disques, mais un choix pas aussi large que l’on imagine, beaucoup d’albums ne passant pas le cap de l’import en France et quand c’est le cas, n’imaginez pas que la dernière nouveauté du Velvet ou des Stooges puisse se trouver au fin fond de la Bretagne… En revanche, il est possible de trouver des magazines sur la musique, notamment Rock et Folk, qui, dans une courte période 1969-1973, qui coïncide avec la venue de Philippe Paringaux et l’écriture de sa part d’une bonne partie du magazine, ouvre les chroniques à toutes les musiques de l’époque, du Blues au rock en passant par les musiques contemporaines, le tout avec ce qu’il faut bien convenir comme étant la naissance de la critique rock à la française. N’oublions pas qu’à ce moment, s’il existe d’excellents magazines concernant le jazz, pour le rock et la pop, c’est le règne de Salut les copains ! Pas de Lester Bangs à l’horizon, celui-ci ne déployant sont style qu’en 1974, au moment où Creem lui laisse écrire comme bon lui semble avec l’humour qu’on lui connaît. Dominique A, dans Tomber sous le charme a bien décrit cette relation à la musique décrite par des mots, avant quelle ne puisse être écoutée et qui parfois n’est pas à la hauteur de sa description littéraire. En ce qui me concerne, la plupart du temps la musique s’est incarnée dans le verbe avant le son. La liste des passeurs de l’époque Alain Dister, Philippe Paringaux, Philippe Adrien, Philippe Garnier. Il y avait du style et de la classe. Avec les éditions Allia, vous semblez êtres ceux qui assurent et décident de la légitimité, de la postérité d’un mouvement ou d’un artiste. Vous êtes des passeurs. Vous êtes d’accord avec cette idée? J’ignore les stratégies d’autres éditeurs, concernant la musique. Reste que les festivals dans lesquels Le mot et le reste ont un stand permet de rencontrer bon nombre de nos lecteurs, bien plus jeunes que je le pensais et pour qui nos nouveautés s’apparentent effectivement à des découvertes de continents engloutis, les ouvrages récents sur Moondog et Sun Ra en étant de bons exemples. Vous est-il déjà arrivé de refuser un livre parce que le sujet était trop frais ou pas digne de passer dans l’Histoire justement? Non, seule la qualité compte. Mais force est de constater que la fraicheur ou la nouveauté n’amènent pas d’ouvrages dignes d’être publiés chez nous, peut être parce que tout cela manque de recul ? Nous refusons aussi pas mal d’ouvrages, quasiment toutes les semaines, soit parce que le sujet ne nous intéresse pas, soit qu’il est mal écrit, soit les deux. Est-ce que parfois, vous pensez à un sujet ou un artiste dont vous aimeriez publier l’histoire, et vous partez en quête des spécialistes, auteurs et thésards érudits en la matière, ou bien c’est toujours vous que l’on vient solliciter? Il y a autant d’options que d’ouvrages publiés où à paraître. La liste est longue, des ouvrages à venir, si je tiens compte des musiciens ou groupes qui devraient avoir un ouvrage les concernant, chez nous. Et il ne s’agit là que d’une histoire de qualité musicale, pas de notoriété. Il m’est arrivé et m’arrive encore d’aller sur internet suivre des auteurs qui pourraient valoir la peine d’entrer chez nous, sur des thématiques précises. De la même façon, chaque semaine apporte son lot de tapuscrits non sollicités, dans lequel peut arriver une proposition de qualité. Chez Le Mot et le Reste, ce n’est pas vraiment l’auteur qui prime mais plutôt le thème et la personne qui l’aborde. Votre vocation d’éditeur en elle-même est-elle différente? Les choses sont un peu plus complexes que cela. Si Densmore parle des Doors, c’est son témoignage qui prime, idem pour Peter Hook, Geoff Emerick et d’autres. Pour d’autres ouvrages, il existe effectivement une trame qui est devenue une marque de fabrique du mot et du reste, avec un suivi éditorial qui est d’une plus grande amplitude. Selon vous, si les éditions musicales comme vous ou encore Allia marchent bien, est-ce aussi parce que la presse musicale spécialisée est de plus en plus pauvre et de mauvaise qualité? Du coup, vous vous substituez un peu à elle…? Cela me ramène aux strates sur lesquelles la maison d’édition s’est structurée. Effectivement la déshérence de la presse musicale, sa segmentation forcenée, l’a appauvrie, l’empêchant de créer des chemins de traverse, des ponts entre les musiques. Au final, nous nous sommes insérés dans les interstices, créant peu à peu des liens entre les thématiques diverses et variées de la musique. Le Mot et le Reste est devenu un archipel dans lequel s’agrège la musique et ses histoires, petites et grandes. Seul le pluralisme peut fonctionner » Sur votre site, on peut lire c’est essentiel de créer une relation vivante entre le livre et les lecteurs, l’auteur et les lecteurs . Comment met-on en place cette relation vivante et est-ce le secret d’une maison qui tourne bien? Au vu de l’appropriation de nos ouvrages par les lecteurs que nous rencontrons, nous sentons bien qu’il existe un élan à notre égard, quand bien même il existe un écart a priori entre le fan de fields recordings et celui du heavy Metal, segments sur lesquels nous avons publié des ouvrages. Reste que si l’objet de son intérêt est dissemblable, il reste une passion commune, lié au son, à une histoire et que je comprends très bien. Quant au secret d’une maison qui tourne bien, c’est peut être la chance d’être là au bon moment, d’avoir des auteurs qui savent mener une histoire, de pouvoir s’appuyer sur une équipe affutée qui elle même connaît la musique et la syntaxe qui va avec, afin que l’histoire bien menée devienne un ouvrage que nous mettons en page afin qu’il devienne un objet qui nous échappe, sur les tables des libraires. Quand on est journaliste en devenir, beaucoup de professionnels, qu’ils soient installés ou pigistes, mettent en garde ne fais pas ce métier, c’est la galère, et pour ta génération, ça va être pire! ». Que d’encouragements. Que diriez-vous à un futur éditeur? Que je ne suis pas un exemple, ayant fait l’expérience de tout ce qu’il convient de ne pas faire débuter dans du livre d’artiste, segment que ne fonctionne quasiment plus qu’en étant subventionné, éditer de la poésie en n’ayant aucun diffuseur, m’amenant à contacter moi-même les librairies et gérant des dépôts jamais payés. J’ai continué avec des diffuseurs auxquels j’ai servi de cheval de Troie, quand j’ai commencé à faire des livres sur la musique. Mais j’ai survécu à ces expériences dont je me souviens de chaque marche franchie, grâce a une bonne dose d’inconscience, car ce sont de réels paris économiques pris dès lors où l’on fait des traductions, notamment. L’échec récent de la maison d’édition 13ème note en est un exemple avoir une bonne image de marque auprès d’un public très restreint ne suffit pas. Une maison d’édition n’existe pas si elle est trop spécialisée. À un moment, on a fait le tour d’une thématique, que ce soit le rock garage, le disco ou la techno. Seul le pluralisme peut fonctionner et c’est aussi à ce titre que Le mot et le Reste fait aussi des ouvrages de littérature. Au demeurant, notre ouvrage le plus vendu n’est pas un ouvrage sur la musique, mais notre réédition de Walden de Thoreau. Pour revenir aux conseils avisés concernant les futurs éditeurs, je cite ici un échange entendu au salon du livre de Paris – On peut gagner une petite fortune en faisant de l’édition ! – Ah bon, mais comment ? – En y investissant une grosse fortune ! Ça, c’est pour l’édition avec un contrôleur de gestion. Ici il faut surtout accepter de passer son temps sur de la correction de texte, échanger avec des auteurs au téléphone ou passer les voir, négocier avec son banquier et son imprimeur, avoir son diffuseur au téléphone qui aimerait plus d’ouvrages faisant des scores », travailler sur les couvertures, relancer les journalistes et médias divers, bref, de ne pas compter son temps, tout en gérant au plus près l’économie, évidemment fragile, d’une petite structure. Mais bon, il paraît que c’est un travail addictif et assez intéressant, ce que je confirme.
La Bretagne, ça vous gagne ! Nous avons dernièrement passé une semaine au Pays Bigouden, dans le Finistère Sud. Nous n’étions pas retournés en Bretagne depuis quelques années, et quel réel plaisir ! Il y fait bon vivre repos, gourmandise, surf, balade à l’air frais… Bref, nous allons tout vous raconter et vous livrer les lieux et activités à ne pas manquer pendant vos vacances en Bretagne !Visiter la charmante commune de Penmarc’hNous avons séjourné à Kérity, un quartier de la commune de Penmarc’h qui compte un peu plus de 5 500 habitants. Le mot d’ordre est donc tranquillité ! Le matin vous pouvez apprécier le retour au port des pêcheurs, et le marché qui l’accompagne. Faire quelques pas pour rejoindre le bout du port, et faire une session enseigne propose des locations de vélo ou de voiture à pédales, ce qui vous permettra de profiter de la piste cyclable qui longe toute la côte. Vous pourrez rejoindre de grandes plages, et d’autres communes sans trop d’ de votre passage, ne manquez surtout pas de grimper les 307 marches du phare d’Eckmühl. La vue à l’arrivée vous offre un beau panorama sur la commune et ses alentours. L’entrée est d’environ 2-3 €.Une petite virée à vélo autour de Penmarc’h, ça vous dit ?Déguster les spécialités de la BretagneLa France est bien connue pour sa gastronomie et ses spécialités régionales… Lors de notre virée bretonne, nous avons pris un grand plaisir à déguster les spécialités locales du Finistère !Dès lors, nous avons commencé par l’incontournable galette sarrasin cuite au beurre salé, et servi avec un pichet de cidre… Miam miam, rien de mieux pour se mettre dans l’ambiance. Des amis nous ont fait découvrir les fameuses kouign, qui ressemblent fortement à des pancakes. N’hésitez pas à vous arrêter dans une brasserie un matin, et demandez un petit déjeuner typique, vous serez servi !Une virée sur la côte atlantique est aussi l’occasion de savourer crustacés, fruits de mer et poissons fraîchement pêchés. Que de bons produits ! Finissez votre dégustation avec une part de phare breton ou de kouign-amann, et vous serez fin prêt pour vos futures à la découverte des phares bretonsLes phares sont nombreux en Bretagne, et sont tous différents. Nous avons sélectionné trois phares dont les ambiances sont complètement phare d’Eckmühl est le seul des trois cités où il est possible de monter pour apprécier la vue. Le phare de Bertheaume situé à Plougonvelin vous embarquera dans une ambiance à la Shutter Island. Lors de notre visite, le temps était nuageux et la mer agitée, ce qui rendait le phare assez mystique. Attention aux éclaboussures !Enfin, le phare du Petit Minou à Plouzané est notre préféré. Le pont pour s’y rendre, et le paysage derrière lui donnent tout son les vagues de la côte ouest en BretagneIl nous était impensable de ne pas nous essayer au surf depuis la Bretagne ! Nous nous sommes donc rendus à la pointe de La Torche, où l’école de surf propose tout l’équipement nécessaire pour se faire une bonne session. Nous nous y sommes rendus pour nous équiper puis nous sommes allés nous mettre à l’ bons novices que nous sommes, nous avons plus passé de temps dans l’eau que sur notre planche. Mais les premières sensations étaient supers, et nous avons passé un très bon moment malgré un bel écart de température avec les eaux de Polynésie Française 🙊.Lorsque vous allez à l’eau, soyez prudents car il peut y avoir des courants vous ramenant en un clin d’œil dans une zone à risque, ou encore des tourbillons qui vous attirent vers le les ruelles fleuries de QuimperQuimper… notre petit coup de cœur du séjour en pays Bigouden ! Nous nous y sommes rendus en début d’après-midi et avons décidé d’embarquer dans le petit train pour visiter tout en apprenant les anecdotes de la ville. On ne peut que recommander ! Sachez également que pour l’achat d’un ticket 6,50 €, vous avez une remise pour le prochain tour de train que vous souhaiterez faire à Bénodet ou le centre ville de Quimper est très joli, les ruelles sont typiques et l’ambiance chaleureuse. La cathédrale Saint-Corentin est grandiose, et les nombreux jardins sont bien fleuris voire exotiques !Découvrez Quimper et son charme fou !Embarquer pour une session pêcheCertains pêcheurs vous proposent d’embarquer à bord de leur chalutier pour une matinée pêche. Le départ se fait généralement aux aurores. Cette virée en mer est l’occasion de ramener le repas du midi poisson à volonté !Ce jour-là, nous avons eu une mer plutôt houleuse, mais généreuse une dizaine de poissons pêchés, soit un festin pour le repas du midi. Petite surprise lors de notre session pêche pendant que nous étions concentrés sur nos cannes, nos copains les phoques finissaient leur nuit en se dorant la pilule sur les rochers situés à quelques kilomètres des côtes. Bref, une très belle matinée !Attention toutefois au mal de mer, qui peut même toucher les habitués et vous faire passer un mauvais moment… Renseignez vous auprès du marin sur les conditions maritimes, et il saura vous l’histoire de la Bretagne en visitant la Pointe de Pen HirSituée dans la presqu’île de Crozon, la Pointe de Pen Hir est un immanquable. Ambiance rocheuse, avec une vue incontournable. Ce lieu regorge de balades et de falaises à escalader. Avis aux adeptes de sensations !Sur le site, vous pourrez découvrir la Croix de Pen-Hir qui est un monument dédié aux Bretons de la France libre de la Seconde guerre mondiale. Un peu plus bas sur la route, d’autres vestiges de la guerre sont ouverts à la visite. Vous y découvrirez un musée mémorial de la bataille de l’Atlantique installé dans un des bunkers édifiés durant la totale dans l’histoire de la Bretagne à la pointe de Pen-HirFaire une pause à Brest avant de s’envolerAvant de prendre l’avion pour rentrer à la maison, nous avons profité de quelques heures pour visiter Brest. Nous n’avons pas eu de réel coup de cœur pour son centre ville, mais il y a quelques lieux intéressants à visiter comme le Château qui fait désormais office de Musée National de la Marine 7 € l’entrée, ou encore le jardin du Conservatoire botanique national gratuit hors serre tropicale pour 5-7 €.Nous avons beaucoup entendu parler de l’Océanopolis 21 € pour les adultes, 15 € environ pour les enfants, réputé pour être l’un des plus importants d’Europe. N’étant pas trop fan des aquariums on préfère voir nos amis marins dans leur habitat naturel…, nous ne nous y sommes pas rendu. Toutefois, sa réputation en vaut certainement le détour !Personne ne lit jusqu’à la fin les articles de blog voyage… Du coup, pour les égarés, saviez-vous que le Bigouden est un élément situé au sommet de la coiffe brodée, que portaient les habitantes de la région de Pont l’Abbé ? Le mot est apparu dès les années 1830. Par la suite, Bigoudènes » désignera les femmes portant cette coiffe.
La Bretagne des arts contemporains » voilà une proposition qui tranche avec les sempiternelles cartes postales de bigoudènes en coiffe dentelle ! C'est le thème retenu cette année par le comité régional du tourisme CRT pour promouvoir l'image de la région, en France et au-delà. L'opération de marketing territorial est volontairement ancrée dans un registre culturel et plutôt haut de gamme avec au menu une campagne d'affichage et des expositions d'oeuvres d'artistes contemporains qui ont puisé leur inspiration au grand vent de la lande bretonne. Nous voulons projeter des images neuves. Chaque année, nous choisissons un thème à partir duquel nous déclinons toute notre campagne de communication institutionnelle », explique François Vertadier, le directeur du CRT de Bretagne qui s'aventure cet été sur les terres plus ardues de l'art contemporain, décliné dans de nombreux champs peinture, sculpture, vitrail, céramique, photo, bande dessinée. Des expositions dans les chapelles, en plein air ou à proximité de sites naturels grandioses, comme la pointe du Raz, sont proposées tout l'été. Le responsable se défend d'un parti pris trop élitiste. Notre approche est délibérément tournée vers le grand public. Nous proposons aussi des opérations liées à la bande dessinée, qui fait partie de l'art contemporain », explique-t-il. Le succès remporté l'été dernier par la célébration du centenaire de la mort de Paul Gauguin au travers de magnifiques expositions à Quimper et à Pont-Aven, terre d'élection du peintre, est resté dans les mémoires des professionnels. Le dispositif retenu comportait une brochure grand public richement illustrée tirée à exemplaires dont en anglais, une série de quatre affiches 4 x 3, un site Internet, une newsletter électronique trimestrielle, et 8 spots TV de 20 secondes sur le thème La Bretagne, votre seconde famille ». Le budget de l'opération était de 3,8 millions d'euros. Même s'il est difficile de chiffrer avec précision l'impact d'une telle campagne qui revendique plus de 14,6 millions de contacts, l'initiative a profité aux nombreux musées de la région leur fréquentation a progressé de 10 à 30 %. Cet appétit culturel a peut-être été accentué, il est vrai, par le contre-effet canicule » dont a largement bénéficié la Bretagne en 2003, lui apportant selon les professionnels près d'un million de nuitées supplémentaires ! Approche grand publicFort de cet engouement touristique pour la culture et la fraîcheur, le CRT est décidé à promouvoir sa région tout au long de l'année avec l'espoir de séduire une clientèle de plus en plus jeune. D'où un parti pris publicitaire autour de la BD, retenu par l'agence rennaise Euro RSCG & Cie pour la campagne d'affichage métro/bus à Paris, qui a eu lieu à la mi-mars 2004 et se déploiera de nouveau en octobre. Quatre affiches une par département breton mettent en scène de jeunes touristes dans un site facilement identifiable Fort Lalatte, la pointe du Raz, ou encore le golfe du Morbihan. L'objectif d'attirer une clientèle francilienne et étrangère sur des courts séjours tout au long de l'année doit permettre de tordre définitivement le cou à l'image d'une Bretagne encore associée dans l'esprit du plus grand nombre aux longues vacances estivales. Nous consacrons environ le tiers de notre budget, qui s'élève à 7 millions d'euros, à cette démarche marketing en France et à l'étranger », souligne François Vertadier. Cette année, la campagne télévisuelle, qui s'élevait à 1,5 million d'euros en 2003, n'a pas été reconduite, pour des raisons budgétaires les fonds d'Etat et européens qui avaient permis son financement les années antérieures ont été suspendus. Mais l'international demeure une priorité, notamment la Grande-Bretagne, l'Allemagne et le Benelux. Le CRT constate également un regain d'intérêt de la part de la clientèle du sud de l'Europe Espagne et Italie, ainsi que d'Europe centrale et orientale. Plus anecdotique pour l'instant, mais potentiellement porteur est le Japon, qui commence à inscrire la région dans ses voyages européens. Car aux yeux des professionnels, la Bretagne apparaît de plus en plus comme une alternative à la standardisation du tourisme en Europe. En témoigne la hausse importante +7,6 % du nombre de nuitées d'origine étrangère enregistrées dans les hôtels bretons lors de la saison touristique 2003 voir graphique. Renforcer le haut de gammeCette clientèle internationale, qui représente environ 25 % de la fréquentation, nécessite une démarche marketing de plus en plus pointue, avec des offres ciblées. Nous avons contacté un tour-opérateur américain spécialisé dans le tourisme équestre et nous lui avons proposé une offre adaptée dans les Côtes-d'Armor les réservations sont complètes jusqu'en octobre », continue le responsable, qui réfléchit également à des séjours consacrés à l'observation des oiseaux le fameux bird watching » dont sont friands les Américains. Mais pas question pour autant d'abandonner le positionnement thématique pour les campagnes annuelles. En 2005, le sujet général est déjà retenu ce sera l'année des légendes », histoire de revisiter l'imaginaire celtique fortement associé à l'identité régionale. Les concepteurs de la campagne, eux, seront connus à la fin de l'été le contrat qui liait Euro RSCG et le CRT arrivant à échéance, un nouvel appel d'offres est en cours. Les défis qui s'imposent au tourisme breton sont loin d'être tous relevés. Une récente étude du conseil économique et social régional souligne que la structure même doit évoluer régulièrement le poids relatif de l'offre haut de gamme doit être accru pour drainer une clientèle à fort revenu et améliorer les possibilités d'accueil en matière de tourisme d'affaires ». Un virage que les campagnes marketing haut de gamme du CRT contribuent à négocier.
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